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À LIRE ET RELIRE
Réseaux d’influence Britannique ... ou ...
QUAND LE COMMERCE INTERNATIONAL APPARTIENT À LONDRES
LES MARIONNETTES DU COMMERCE
PANTINS DE LA REINE
La Couronne d'ANgleterre a créé tant de groupes et de sociétés secrètes afin de les donner en pâture et comme faux-alibis et faux-criminels pour se protéger de tous soupçons.
Le Groupe Bildeberg est une autre stratégie des Leaders Britanniques pour confondre l'Humanité afin que cette dernière ne sache jamais qui sont les vrais coupables de son malheuret de la destruction de la seule vie que nous ayons tous.
LA PREUVE QUE LONDRES CONTRÔLE TOUT
Le Comité des 300 créé en 1729 par la BEIMC (British East India Merchant Company), dirigé par la couronne Britannique, relit le système bancaire mondial dans sa totalité et les représentants les plus importants des nations occidentales à la famille Rothschild.
Cette organisation secrète fut créée en mai 1954 à l'hôtel de Bilderberg à Oosterbeek, en Hollande, par le prince Bernard des Pays-Bas. Le président est un ancien secrétaire général de l'OTAN (1984-1988), Lord Carrington. Elle est composée de magnats de la haute finance et d'hommes politiques importants. Les plus connues et les plus suspectés d'appartenir ou d'avoir appartenu à cette organisation
sont George Bush (ex-chef de la CIA, ex-chef du CFR, ex-président des Etats-Unis, membre du comité des 300), Zbigniew Brzezinski, Bill Clinton ( membre du CFR et de la commission Trilatérale), Henry Kissinger (membre de la Loge P2 italienne), et beaucoup d'autres... Ses buts principaux, à l'image du Club de Rome, sont l'institution d'un gouvernement mondial d'ici l'an 2000 et d'une armée globale sous le couvert de l'ONU.
Groupe Bilderberg : Trois groupes, dont l’existence est connue, sauf bien sûr du grand public, mais dont les buts réels et les stratégies sont soigneusement tenus secrets en dépit de quelques fuites, sont les maîtres d’œuvre d’une transformation radicale de la géopolitique mondiale : Le groupe Bilderberg créé en 1954 qui compte 120 participants environ, la commission Trilatérale, qui œuvre depuis 1972 et qui en compte 300, et le CFR (Council on Foreign Relations) composé de 2700 américains, qui a été créé le premier en 1927. Un personnage central tient un rôle prépondérant dans ces trois organisations. Il s’agit du banquier David Rockefeller, sans conteste l’homme le plus puissant et le plus influent de la planète. Certains invités sont quasi permanents, les autres changent au fil des ans. Quatre-vingt pour cent environ des participants sont européens, les autres sont américains. Bien qu’il n’y ait aucun membre officiellement, les participants américains au groupe Bilderberg sont en général des membres du CFR, exclusivement américain, ou de la Trilatérale, qui regroupe les élites de l’Europe, des Etats-Unis et du Japon. Les membres du Groupe de Bilderberg s’appellent eux-mêmes les "Bilderbergers". Ils sont choisis uniquement par cooptation. Le Groupe de Bilderberg se réunit une fois par an pendant environ 4 jours. Les réunions ont lieu chaque année au printemps dans une ville différente, mais toujours dans des châteaux ou des hôtels luxueux, entourés d’un parc ou situés en pleine nature, et si possible équipés d’un golf. Les réunions sont protégées par plusieurs centaines de policiers, militaires, et membres des services spéciaux du pays d’accueil. Si la réunion a lieu dans un hôtel, celui-ci est vidé de ses occupants une semaine avant l’arrivée des Bilderbergers. Les invités sont déposés par un ballet d’hélicoptères noirs et par des limousines aux vitres fumées avec la lettre "B" sur le pare-brise. Les discussions se tiennent à huis clos. Quelques journalistes dévoués à la "pensée unique" peuvent être parfois présents, mais rien ne doit filtrer des discussions. Il est interdit de prendre des notes ou de faire des déclarations à la presse. Mais quelques photographes arrivent parfois à prendre des photos à l’extérieur, au moment de l’arrivée des invités. La réunion 2004 du Groupe de Bilderberg s’est déroulée du 3 au 6 Juin (juste avant la réunion du G8) à Stresa dans le nord de l’Italie près de la frontière suisse, dans un palace sur les rives du Lac Majeur, le "Grand Hotel des Iles Borromées". En 2003, la réunion avait lieu en France du 15 au 18 Mai, au château de Versailles qui a été fermé au public pendant une semaine. Parmi les plus surprenants : VGE, Fritz Bolkenstein,...
Warburg et Templeton Les fonds de pension : quand on aime il faut assumer... La banque d’affaire britannique Warburg Dillon Read (division de UBS AG, banque suisse) et la société Templeton Global Investors Inc., spécialisées dans la gestion des fonds de pension américains et anglais, avaient des parts dans CGIP, puis dans Marine-Wendel. Ces actionnaires ne plaisantent pas avec les résultats des entreprises et ont poussé EAS à liquider une partie des activités de CGIP en son temps. Le « dégraissage » fait partie des « bons signes » adressés à ces gestionnaires de fonds de pension. En ce qui les concerne, voilà un document intéressant :
Une série de documents, les minutes des rencontres secrètes du comité LOTIS « Liberalization of Trade in Services », obtenues par le programme de télévision de la BBC Newsnight et par l’organisation CorpWatch, sont l’enregistrement de 14 rencontres secrètes, d’avril 1999 à février 2001, entre le responsable britannique des négociations commerciales sur les services, la Banque d’Angleterre et les dirigeants du monde des affaires américano-européens. Parmi ceux qui ont siégé dans LOTIS on trouve Peter Sutherland, le directeur international de la banque d’investissement Goldman Sachs et ex-directeur général de l’OMC. LOTIS est présidé par l’Honorable Lord Brittan of Spennithome, qui, en tant que Leon Brittan à présidé la Commission européenne. Il est actuellement le vice-président de la banque d’affaires international UBS Warburg Dillon Read. On trouve aussi parmi les membres de LOTIS les dirigeants européens de géants industriels comme Prudential Corporations, PriceWaterhouseCoopers, et Morgan Stanley. LOTIS est une excroissance des « British Invisbles », plus connu formellement sous le nom de Groupe de Londres des Services financiers internationaux. Ils recevaient souvent la visite d’invités membres de l’équipe de négociations de la Commission européenne.
Opus Dei : Fondée à Madrid en 1928 par un jeune prêtre, Josemaria Escriva de Balaguer, cette « Oeuvre de Dieu » ressemble quant à son but _ sanctifier le travail de tous les jours _ aux mouvements d’Action catholique qui voient le jour en France et en Belgique à la même époque. Née dans les années précédant la guerre civile espagnole, l’Opus Dei reste fortement marquée par ce contexte, ce qui explique son attachement inconditionnel à l’appareil ecclésiastique préconciliaire, sa haine obsessionnelle du communisme et son goût immodéré pour la clandestinité. Le mouvement cultive le secret depuis ses origines. Dans les constitutions (secrètes) rédigées en 1950, l’article 191 précise : « Que les membres numéraires et surnuméraires sachent bien qu’ils devront toujours observer un silence prudent quant aux noms des autres associés ; et qu’ils ne devront jamais révéler à quiconque qu’ils appartiennent eux-mêmes à l’Opus Dei. » Lorsque les constitutions furent connues . Devant les critiques répétées, de nouveaux statuts furent rédigés en 1982 où on peut lire (article 89) : « [Les fidèles de la Prélature] ne participeront pas collectivement aux manifestations publiques de culte comme les processions, sans pour autant cacher qu’ils appartiennent à la Prélature. » Prête-noms et sociétés écrans MALGRÉ cette apparente concession à la transparence, l’Opus continue de pratiquer le secret, d’utiliser prête-noms et sociétés écrans, sous prétexte d’« humilité collective » et d’« efficacité apostolique » ! « Parce qu’il se refuse à toute transparence, l’Opus Dei excite la curiosité et l’hostilité, suscitant même quelquefois des fantasmes de complot. » Nombreux sont ceux qui sont donnés comme membres ou sympathisants. M. Raymond Barre a témoigné au procès de béatification d’Escriva de Balaguer, attestant les « signes de sainteté » du fondateur de l’oeuvre. Dans l’entourage de M. Philippe de Villiers, on désigne Mme Christine Boutin, secrétaire national du CDS et député des Yvelines, le prince Michel Poniatowski, ancien ministre de l’intérieur, et Mme Françoise Seillier, coordinatrice des très réactionnaires associations familiales européennes. Dans le monde des affaires, on cite les noms de ceux qui ont donné des conférences au Centre Garnelles de l’Opus, à Paris : M. Claude Bébéar, le patron du groupe des assurances AXA, M. Michel Albert, patron des assurances AGF, M. Didier Pineau-Valencienne,
Le baron Seillière fut longtemps membre du groupe de Bilderberg. Il adhère à de nombreux clubs dont l’AFEP d’Ambroise Roux. Mais surtout, toute sa famille est historiquement liée à l’Opus Dei. La comtesse Thérèse de Moustier est secrétaire de l’Association Présence du cardinal Mindszenty, une organisation satellite de l’Opus et animée par les Chevaliers de Notre-Dame.
La comtesse Thérèse Leclerc de Hauteclocque ,récemment décédée, était la caution de l’AFCE, l’association de financement de l’église romaine dédiée à Mgr de Balaguer. Le baron Seillière lui-même anime, avec d’autres grands patrons catholiques opusiens ou conservateurs (François Michelin, Jacques Calvet, etc.), l’ANSA, un lobby qui pousse une législation favorable au développement de la Bourse et à la financiarisation de l’économie. Il a ses entrées au Vatican, assistant même, en 1995, en tête à tête avec Jean-Paul II, à la messe du pape dans sa chapelle privée.
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